En 1999, c’est en effectuant des recherches sur le cancer du sein aux Etats-Unis que l’équipe de Patrick Mc Gean a mis en évidence le cycle du soufre en tant qu’élément-clé de la régénération de nos cellules. En l’occurence, il fut observé que le type de cellules-germe à l’origine du cancer était sensible au soufre organique.
Cette étude a également permis de constater que l’utilisation massive d’engrais chimiques casse le cycle du soufre pour les populations en contact physique et alimentaire avec ces engrais, et que des maladies inconnues auparavant sont nées. Depuis 1954, le nombre de maladies aux Etats-Unis a augmenté de 400 %. C’est Justement en 1954 que le gouvernement américain a autorisé l’utilisation d’engrais chimiques.
On sait maintenant que des engrais tels que le nitrate d’ammonium et les sulfates tendent à détruire le cycle du soufre, et qu’il y une relation directe entre le manque de soufre dans l’organisme et l’inaptitude des cellules à s’oxygéner et à se régénérer sainement.
Beaucoup de chercheurs sont d’avis que le soufre constitue l’un des cinq ou six minéraux les plus importants pour le vivant, tout simplement parce qu’il permet le transport de l’oxygène à travers la membrane cellulaire.
A l’opposé des plantes qui ont besoin de CO² pour la régénération de leurs cellules, chez les mammifères, c’est l’oxygène qui prévaut au renouvellement cellulaire. L’humain élimine du CO² pendant que la plante élimine de l’oxygène.
Déjà dès 1920, Otto Warburg avait effectué des études comparatives sur le cancer à la fois chez les plantes et chez l’être humain, ce qui lui valut le prix Nobel en 1931 pour l’ensemble de ses recherches. Il avait déjà démontré à l’époque que chez l’être humain, le cancer est anaérobique (sans oxygène), alors que contrairement chez les plantes, le cancer est lié à un excès d’oxygène intracellulaire.
A la différence de la plante qui peut stocker le soufre, l’humain en est fonctionnellement incapable. Ce soufre symbiotiquement indispensable à notre vie n’est disponible que dans notre alimentation VÉGÉTALE. Mais ceci était vrai jusqu’à ce que l’on change les méthodes de production de notre nourriture… D’où la nécessité impérative de manger BIO !
Dans les années 60, le Dr Stanley Jacob , chirurgien et professeur à l’université d’État de l’Oregon (USA) étudia sous quelle forme le soufre venu de l’alimentation est métabolisé par l’être humain. C’est ainsi qu’il découvrit que le composant actif est le méthyl-sulfonyl-méthane (MSM), une molécule que l’on retrouve dans les cartilages et dans la peau. Par la suite, il trouva comment obtenir cette molécule naturellement, par cristallisation, en chauffant du diméthyl-sulfoxyde issu des troncs de pin maritime.
En comparaison avec le MSM courant du commerce, le soufre organique pur cristallisé se révèle être un remède très supérieur pour les douleurs arthritiques. Ceci parait logique dans la mesure où les phénomènes arthritiques semblent résulter d’un métabolisme d’hypoxie cellulaire (manque d’oxygène). Les personnes prenant de ce soufre organique témoignent d’une diminution importante et rapide de la douleur et d’une mobilité accrue des articulations. |