Combat les infections bactériennes
Stimule le système immunitaire
Combat l’hypercholestérolémie
Combat certains cancers
L'acerola est recommandé dans les cas suivant :
Activité anti-inflammatoire.
Une étude in vitro a montré que l’acérola diminue l’inflammation sur des macrophages (cellules du système immunitaire) mis en culture (Wakabayashi, 2003)
Activité anti-bactérienne et anti-fongique.
Une activité anti-bactérienne a été rapportée par des chercheurs japonais sur la souche Staphylococcus epidermidis (Motohashi, 2004).
D’autre part, une équipe guatémaltaise a analysé l’activité de plusieurs plantes sudaméricaines sur des champignons pathogènes. Il apparaît que l’acérola est une des plus efficaces pour combattre ces champignons (Caceres, A, 1993).
Activité anti-cancéreuse.
L’étude de Motohashi en 2004 a également montré que des extraits d’acérola présentent une action toxique sur des lignées de cellules tumorales, suggérant que ce fruit pourrait avoir des propriétés anti-cancéreuses. Une autre étude indique qu’un extrait d’acérola (700 mg/kg) bloque la croissance de cellules cancéreuses sur un modèle de souris (Nagamine, 2002).
Obésité et Hypercholestérolémie.
Une étude réalisée sur des cellules endothéliales a montré que l’acérola, combinée à des extraits d’alfalfa et de soja, bloque l’oxydation des lipoprotéines de petite densité (LDL en abrégé), considérées comme le mauvais cholestérol (Hwang, J, 2001).
Cet effet protecteur serait dû en partie à sa forte teneur en vitamine C (Clein, 1956 ; Enfoque,1993).
Une autre étude indique que l’acérola peut lutter contre les effets néfastes de obésité sur l’organisme : des souris ont été soumises à un régime alimentaire riche en graisse et en sucre puis exposées ou non avec de l’acérola pendant 13 semaines.
Les résultats indiquent que la plante protège les cellules sanguines et de celles de certains organes (reins, foie) des effets toxiques de ce régime alimentaire. Cet effet protecteur est vraisemblablement dû aux antioxydants (vitamine C, polyphénols) présents dans l’acérola (Leffa, 2013). |